Overcity, c’est une ville improbable qui change la personnalité de ceux qui s’y retrouvent bien malgré eux, comme tous ces gens qui disparaissent subitement de Montréal. Serait-ce le fait de cette puissante sorcière urbaine qui émerge et étend lentement mais sûrement sa domination sur Overcity ?
La vieille Luzel vit en recluse dans la lande bretonne, où elle collecte les légendes et sirènes, de vouivres et d’ondines. Mais voilà qu’elle trouve une femme nue échouée sur la grève, qui lui dévoilera au cours d’un suffocant huis clos ses origines sombres, marquées pas l’impardonnable…
Entre une couverture déroutante et une quatrième qui ne dévoile rien de l’intrigue, si ce n’est qu’elle entretient des rapports avec le fantastique à la Lovecraft, cette novella se veut surtout satirique et subversive puisqu’elle porte le message que « … l’homme n’est que vanité et suffisance ».
En Estria, longtemps après les catastrophes atomiques, l’humanité s’est réfugiée dans des cités afin d’éviter les radiations. C’est dans l’une d’elles qu’Oriane, membre de la haute société facultaire, a toujours vécu, mais elle sera forcée de quitter sa bulle protectrice en raison du Fléau d’Angarie…
Il y a d’abord cette poignée de lettres échangées entre Nathaniel Hawthorne et Herman Melville, pendant que ce dernier écrivait Moby Dick, puis la relation entre celle qui retrace la création du grand roman de Melville et son compagnon mi-réel et mi-inventé, source de tous les possibles…
Lysandre est une empathe et, dans ce vaisseau qui les mène aux confins de la galaxie, elle a le pressentiment qu’il y a un meurtrier à bord. Mais avant de l’empêcher de nuire, encore faut-il qu’elle convainque les autres passagers qu’il existe vraiment.
Parce qu’elle est seule à vouloir revenir à tout prix sur la Terre, June se considère comme une anomalie parmi les passagers de la station qui dérive dans l’espace depuis des siècles. Et ce n’est pas le commandant Loïg qui l’empêchera de partir !
Un recueil de 202 micronouvelles en si peu de pages, c’est possible ? Il semble que oui puisque voici Micro-drames. Voilà qui nous rappelle certaines prouesses à la Jacques Sternberg, le maître francophone de la short short !
2372 : l’astéroïde Oumuamua est de retour dans le système solaire, alors que le climat est plus que chaotique sur la Terre. Y a-t-il un lien avec Ao, fille de Laïa et Tiago, premier enfant à naître après une stérilité mondiale qui a duré plus de trois décennies ?
