Livre reçu: Sylvie Bérard, Une sorte de nitescence langoureuse


 Couverture

Lévis, Alire (Autrement), 2017, 160 p.

« L’une, forte de sa longue expérience dans le domaine de la rédaction scientifique, vient de publier un premier roman intitulé Une sorte de nitescence langoureuse ; l’autre, qui n’en est pas à sa première expérience littéraire, a lancé Rendez-vous sur Apocalypse, son nouveau roman de science-fiction. Pour l’une, la critique institutionnelle remarquera, au fil des semaines, « l’écriture qui transcende la trivialité des représentations », « la noirceur éclatante de son propos » et « sa grande maturité ». Certains iront jusqu’à la comparer à « Boris Vian pour sa façon fantaisiste de décrire la réalité », voire à « Marguerite Duras pour son style s’égarant sur les choses ». Sans oublier, bien sûr, de recommander le titre à « quiconque aime s’immerger dans les livres et en ressortir complètement dépayser ». Pour l’autre, il y aura l’habituelle attente, heureusement compensée par l’enthousiame communicateur des amateurs de science-fiction, qui aiment se réunir et discuter de leur genre préféré, mais aussi par les pertinentes analyses de certains blogues spécialisés. Or, voici que l’une et l’autre ont été invitées à la même émission littéraire… »